@article{AIHPA_1981__34_3_329_0, author = {Henneaux, Marc}, title = {Univers de {Bianchi} et champs spinoriels}, journal = {Annales de l'institut Henri Poincar\'e. Section A, Physique Th\'eorique}, pages = {329--349}, publisher = {Gauthier-Villars}, volume = {34}, number = {3}, year = {1981}, mrnumber = {612221}, language = {fr}, url = {http://www.numdam.org/item/AIHPA_1981__34_3_329_0/} }
TY - JOUR AU - Henneaux, Marc TI - Univers de Bianchi et champs spinoriels JO - Annales de l'institut Henri Poincaré. Section A, Physique Théorique PY - 1981 SP - 329 EP - 349 VL - 34 IS - 3 PB - Gauthier-Villars UR - http://www.numdam.org/item/AIHPA_1981__34_3_329_0/ LA - fr ID - AIHPA_1981__34_3_329_0 ER -
Henneaux, Marc. Univers de Bianchi et champs spinoriels. Annales de l'institut Henri Poincaré. Section A, Physique Théorique, Tome 34 (1981) no. 3, pp. 329-349. http://www.numdam.org/item/AIHPA_1981__34_3_329_0/
[1] Nous nous basons essentiellement sur les exposés de , Cosmological models from a geometric point of view, Cargèse Lectures in Physics, t. 6, p. 61, édité par E. Schatzman, Gordon and Breach, New York, 1973.
Homogeneous Relativistic Cosmologies, Chapitres 9 et suivants. Princeton University Press, Princeton, 1975. | MR
et ,Spatially homogeneous universes, Proceedings of the first Marcel Grossman meeting on General Relativity, p. 231, édité par R. Ruffini, North Holland, Amsterdam, 1977.
,[2] Phys. Rev., t. D21, 1980, p. 336. | MR
et ,[3] Comm. Math. Phys., t. 64, 1979; p. 211; Nuov. Cim., t. 55B, 1980, p. 161. | MR | Zbl
,[4] On ne considère ici que des tétrapodes orthonormés possédant la même orientation dans l'espace et le temps que les bases {∂/∂x0, Xa} dans lesquelles les constantes de structure prennent les valeurs canoniques mentionnées dans le texte. Rappelons que les tétrapodes orthonormés sont définis par h(λ)ρ.h(μ)σ.gρσ = η(λμ) ≡ diag (-, +, +, +) d'où l'on tire notamment (compte tenu de ce qui précède) : det h(m)a = + (det gab)1/2 Les indices entre parenthèses sont les indices des tétrapodes. Notons aussi que les premières lettres de l'alphabet latin sont réservées aux composantes des tenseurs exprimées dans les bases invariantes {Xa}, tandis que les lettres du milieu de l'alphabet (m, n ... ) désignent leurs composantes dans les bases des coordonnées {∂/∂xm ≡ ∂m} (cette règle s'applique uniquement aux indices sans parenthèse!). Enfin, pour nous conformer à l'usage, nous avons adopté un langage qui se réfère aux systèmes de coordonnées. Pour une formulation plus intrinsèque du formalisme hamiltonien, nous renvoyons le lecteur aux articles de Kuchar : J. Math. Phys., t. 17, 1976, p. 777, 792, 801.
,[5] Gen. Rel. Grav., t. 12, 1980, p. 137. | MR | Zbl
,[6] Ann. Phys. (N. Y.), t. 104, 1977, p. 336. , Nuov. Cim., t. 33A, 1976, p. 115.
et ,[7] Constrained Hamiltonian Systems, Cours donné à l'Université de Princeton en 1977 (non publié).
,[8] Interacting Gravitational and Spinor Fields, dans Recent Developments in General Relativity, Pergamon Press, Oxford, 1962. et , Ann. Phys. (N. Y.), t. 116, 1978, p. 86. , Gen. Rel. Grav., t. 9, 1978, p. 1031. | MR
,[9] Phys. Rev., t. D21, 1980, p. 857. | MR
,[10] Comm. Math. Phys., t. 25, 1972, p. 173. | MR
et ,[11] Acta Phys. Austr., t. 38, 1973, p. 145 (appendice B).
,[12] Ce problème de densité se comprend aisément : pour passer de l'hamiltonien général d'Einstein-Dirac à l'hamiltonien des cosmologies de classe A, on simplifie formellement par la quantité ∫ d3x.|ωam|. Celle-ci n'est constante que pour les transformations de GL(3) de déterminant unité.
[13] Phys. Rev., t. D10, 1974, p. 3226. et , Phys. Lett., t. 51A, 1975, p. 199. | MR
et ,[14] J. Math. Phys., t. 17, 1976, p. 1049. , Progr. Theor. Phys., t. 63, 1980, p. 1213.
et ,[15] Phys. Lett., t. 66A, 1978, p. 357.
,[16] Soviet Phys., J. E. T. P., t. 29, 1969, p. 911.
et ,Bianchi type-IX cosmological models with homogeneous spinor fields. Prepublication SPF-06-80 de l' « Universidad Nacional Autónoma de México » (à paraître dans J. Math. Phys.).
et ,J. Math. Phys., t. 21, 1980, p. 1952.
et ,